Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
7 avril 2020 2 07 /04 /avril /2020 16:37

Faut-il perpétrer ? Ou, faire l’école autrement ! Sommes-nous civilisés ?  

L’exhaustivité de la Nature est impossible, c’est une merveille absolue, elle accepte d’être habitée, observée, étudiée par nous, mais elle nous crie tous les jours : « Ne touche pas à mon écosystème » !

La Nature répétons-le est une merveille, toucher inconsidérément à son écosystème c’est s’autodétruire -suicide collectif- !

Ce constat il faut le faire collectivement à l’aide de la science, de la philosophie et de la poésie.

Les religions n’y peuvent rien, elles nous prouvent tous les jours que les combats verbaux, voire les guerres entre elles, sont irrespectueuses de la planète sur laquelle nous évoluons. De profondes réflexions doivent se faire dès l’école, la VIE en dépend.

La Nature possède  des bases simples, utilisons-les pour nos lignes de conduites. La Nature semble trouver en elle les possibilités nécessaires à sa survie et ce, malgré nos énormes bêtises !

Est-on obligés de détruire cette remarquable autonomie de la Nature  pour créer la notre qui très souvent par notre façon « d’évoluer » est indescriptible ? Je suis désolé de répéter souvent le mot Nature mais, sans elle que serions-nous ? Notre façon de « vivre mieux » implique-t-elle de donner le pouvoir, souvent, trop souvent, à de dangereux criminels en puissance et/ou en activités ? Ils vont parfois paisiblement à la messe le dimanche !

La VIE doit être l’objectif principal, la paix l’exige !

Les guerres doivent être mises hors la loi, l’oubli fait que, in fine, les morts qu’elles provoquent artificiellement ne servent à rien. L’égoïsme triomphe !

 

Parlons aussi de l’art, il doit être le compagnon de nos quatre principales nécessités indispensables à nos VIES de manière à ce qu’elles soient agréables à nos regards et à nos écoutes.

Citons nos quatre nécessités :

Manger : agriculture et Art

S’habiller : Tissage et Art

Se loger : Architecture et Art

Se soigner : Science médecine et Art

Eu égard à ces indispensables nécessités, que le soleil les baigne de sa lumière matutinale !

Est-on civilisés ?

Il parait nécessaire d’apprendre à apprendre aux enfants, le plus tôt possible, et surtout dans les écoles et universités, que la Nature se montre à eux dans un tel état que le monde ne la voit plus ! Sortons nos enfants de ce paradoxe ! Sans la Nature la VIE est impossible ! Faire l’école sur cette base est indispensable ! Les graines de l’avenir du futur de nos enfants doivent être semées dans toutes les écoles et universités, je le répète, pour que pousse les tiges d’un monde meilleur.

Ne soyons pas prétentieux ! Ayons un peu d’humilité eu égard à la Nature. Il est important de savoir comment fonctionne notre système composé de chimie, de physique, d’électricité et de biochimie, quatre éléments essentiels pour tenter de fonctionner correctement. Ce système je le nomme souvent par commodité : BCPE. C’est notre petit moteur à nous, que nous fabriquons à l’intérieur de nous et, souvent nous ignorons tout de lui alors que la Nature nous l’a si généreusement  offert. Ne le détruisons pas !

 

Le virus "Covid 19"' est-il naturel ? D'où est-il venu ?

Nos bêtises sont-elles responsables de sa venue ?

Il faut, absolument que : la science, la philosophie et la poésie remplacent : La cupidité, l'égoïsme et la jalousie. C'est la prix à payer pour laisser la Nature faire son devoir et nous faire disparaitre à sa guise ! 

 

Emblavons le bon grain !                              Raymond Chermat

 

 

                                                   

                                                                                 

Partager cet article
Repost0
6 avril 2020 1 06 /04 /avril /2020 15:57

Nous constatons que toute cette VIE est souvent cachée malgré sa grouillante effervescence ! C’est très compliqué ! Je répète : faut-il faire l’école autrement ? Au début de l’histoire de « l’humanité » la science n’existait pas. On inventa « Dieu ». On peu comprendre : la terre, le soleil, la lune, les étoiles, la VIE, la mort, tout était sans explications, tout était mystérieux, et,  « Dieu » se fixa dans les synapses des mémoires. De nombreux textes plus ou moins compréhensibles apparurent dans la bible, le coran et autres écrits religieux, provoquant parfois l’invraisemblance. Religion : le mot fut inventé : l’être « humain » et la « divinité ». Pourquoi les guillemets ? Parce que : Sommes-nous civilisés ? Au cours de l’histoire, les religions ont provoqué des millions de crimes d’une cruauté impensable, tortures, massacres, et vilénies de toutes sortes furent provoquées L’idée de « dieu » s’était fixée dans les synapses des mémoires. Il devenait le maître absolu ! Il semble qu’aujourd’hui cette idée de « Dieu » persiste ! Evolue-ton ? En écoutant et en lisant l’actualité le doute s’installe !

La pensée dont on connaît mal le mécanisme, mène le religieux à ne pas voir au delà du « mur » que les écrit bibliques et autres paroles invraisemblables ont construit dans beaucoup de cerveaux.

Alors on tue parce que DIEU l’ordonne ! Cela existe !

Peut-on faire l’école autrement ? L’athéisme ne doit pas rester dans les tiroirs des bibliothèques, il doit faire l’objet, en permanence, de comparaison avec les écrits religieux, bibliques et autres, qui sont cousus d’invraisemblances, de phrases incompréhensibles. La science peine de plus en plus à grignoter ces invraisemblances. Au fil des jours nous constatons que l’ordre de « DIEU » est gravé dans certaines mémoires, parfois il se grave subitement, les droits à la réflexion, à la désobéissance sont effacés. Alors le passage à l’acte est évident et, les massacres de toutes sortes  sont effectués au nom de qui ? De « DIEU » ! Et/ou d’un dysfonctionnement du système nerveux central.

 

Emblavons le bon grain !                                Raymond Chermat

Partager cet article
Repost0
3 avril 2020 5 03 /04 /avril /2020 09:27

Le cerveau reste un mystère, les scientifiques sont en marche sur un très long chemin vers un grand inconnu, vers l'imperceptible.

le cerveau est la plus grande, la plus mystérieuse et aussi la plus petite usine du monde. Notre nourriture est son carburant, son fonctionnement et/ou son dysfonctionnement parfois, en dépendent. 
Les êtres humains ont une grande connaissance de l'univers matériel, par exemple, ils savent faire des calculs compliqués pour s'échapper dans l'espace infiniment grand et d'autres calculs non moins compliqués pour voir à l'aide d'appareils sophistiqués l'infiniment petit et, ils ignorent presque tout du fonctionnement et du dysfontionnement du cerveau qui leur sert à tout ça ! 

Des courants de pensée tentent à démontrer que l'être humain devrait rester dans l'ignorance quant aux fonctionnement du cerveau, qualifiant ces éventuelles connaissances d'impossibilité logique.

Bergson - philosophe - disait que l’être humain était capable de résoudre les problèmes de la vie en général.

Seule la Nature serait moderne ? Aujourd'hui les chercheurs en neurosciences semblent relever le défi. Ils ont une multitude d'hypothèses à émettre et une multitude d'expérimentations à mettre en œuvre pour vérifier leurs hypothèses.

L'élève à l'école et durant son cursus universitaire, qui cueille les meilleures notes est, pour le système, une future élite. Ces bonnes notes obtenues ne sont pas obligatoirement des critères absolus de futurs prix d'excellences ni des routes ouvertes à d'éventuels prix Nobel.

N'oublions pas qu'il existe un cerveau par individu, et que tous ces cerveaux différents peuvent avoir des fonctionnements et / ou dysfonctionnements très compliqués et donc très mal connus.
Citons un exemple célèbre à propos d'un célèbre cerveau :                                                

   

Les professeurs d’Albert Heinstein voyaient en lui un élève lent et moyennement doué, tels sont les écrits. Certains de ses professeurs vont jusqu'à lui être hostiles. Un poste à l'université lui fut interdit à cause de son caractère frondeur et de son esprit indépendant.

Passons sur son excellent cursus bien connu de tous et parlons de l'autopsie à sa mort à 76 ans, en 1955.

Son cerveau fut prélevé et, d'autres savants y trouvèrent des anomalies dans les structures cérébrales.

Steven Pinker, professeur de science cognitive, auteur de l'institut du langage, signe un article dans un grand quotidien américain en écrivant à propos du cerveau de notre Albert universel :
«  Etrange coïncidence de voir ce cerveau, qui a unifié les catégories fondamentales de l'existence, l'espace et le temps, la matière et l'énergie, la gravité et le mouvement, nous aider aujourd'hui à unifier la dernière grande dichotomie du cosmos conceptuel : celle de la matière et de l'esprit. E = mc 2 : quelle belle formule ! Il avait 26 ans » ! Où était logée cette formule dans ce célèbre cerveau ? Comment est-elle sortie de ses profondeurs pour atterrir au bout d'une craie blanche sur un tableau noir ? Est-ce cela qui lui fit tirer la langue ? Il avait 72 ans ! Quel gamin !

Pédophilie, Génétique, Suicide ? Ce n'est pas simple. Il faut être prudent quant aux expressions sur ces sujets lorsque l'on est appelé à discourir lorsque l'on fait de la politique.

Je sais que je ne sais pas !

Il reste du travail pour les futurologues !

Car : Le cerveau reste inconnu, le nôtre et celui des animaux.
Petite distraction :

Le fantasme chez l'homme se traduit par un effet sur sa verge : il bande ! Un étalon broute dans un champ, il est seul, il bande ! Des vaches sont dans un pré puis, la normande monte sur la limousine est-ce de « l'animalosexualité » ? Est-ce le résultat d'une pensée fantasmatique ? Est-ce l'herbe ?

 

Emblavons le bon grain !                                        Raymond Chermat

                                          

                                                                                               

Partager cet article
Repost0
2 avril 2020 4 02 /04 /avril /2020 10:33

Les neuromédiateurs - cités dans un blog précédant - chez l'être humain comme chez l'animal, libérés dans la fente synaptique agissent sur la membrane d'un autre neurone où il rencontrent des récepteurs ouverts ou fermés soit pour inhiber soit pour stimuler un action biochimique. Ces actions sont rapides ou de brèves durées. Leur vitesse est d'environ 100 mètres par seconde. Les neurones dans le cerveau sont interconnectés, ils sont au nombre d'environ 100 milliards. Les contacts dans la fente synaptique se font d'une centaine à plusieurs milliers par seconde. Les impulsions électriques filent par les axones, elles ont une durée de l'ordre de 1 milliseconde et leur amplitude enregistrée est d'environ 100 millivolts.

Dans ce flux indescriptible, où et comment naît la pensée sont toujours nos questions.


Ici : pensons pédophilie, génétique, suicide.


Cependant, assurément, le cerveau de l'être humain pense, classe, ordonne, trie, conceptualise et met en ordre toute la diversité que nos yeux voient, que nos oreilles entendent dans la Nature et, il mémorise.
Pour toutes ces activités, chez l'animal aussi, la chimie, la physique, la biochimie et l'électricité sont nécessaires. 

 

La physique est le support.

La chimie est le terreau.                   

La biochimie donne l'activité.

L'électricité est le véhicule.

   

Tout cela nous est nécessaire pour que nous puissions chercher à comprendre ce qu'est la pensée et pour que nous puissions chercher à comprendre si les animaux « pensent ». Si le cerveau est la matière essentielle de tous les actes effectués par toutes les espèces présentes dans la Nature, il est encore aujourd'hui primordial d'étudier son fonctionnement. Son dysfonctionnement qui, malheureusement existent parfois chez l'animal comme chez l'être humain, nécessite des études approfondies.

 Ici aussi, se rapporter au titre du chapitre - Pédophilie, Génétique, Suicide-.

En effet il serait prétentieux de notre part de dire que nous savons ce qu'est notre pensée, d'où et comment elle nous vient.
Si l'on admet que notre cerveau nous permet les pouvoirs de connaître, d'imaginer de comprendre, de mémoriser, de faire abstraction et de faire face à des situations différentes chaque jour, nous devons admettre aussi en tenant compte d'observations, que les animaux eux aussi font preuve de toutes ces possibilités.

Merleau-Ponty dit ne pas pouvoir parler d'intelligence chez l'animal au sens où on l'entend chez l'être humain !

Pourquoi ?

Si  l'on admet que la résolution des problèmes dépend de l'intelligence et que nous pensons que les animaux résolvent les leurs, il nous faut encore beaucoup réfléchir ! Les animaux affirment parfois par leurs comportements   ce   que  disait   Charles  Darwin,  à  savoir  que  chez eux - ceux  qui  sont  dits domestiques- il  y  avait  une excellente mémoire des endroits et des personnes rencontrées. Il parlait aussi de faculté mentale et sens moral des animaux.

 

Est-ce la verticalisation qui a fait que nous nous considérons plus "intelligents" que les animaux ? Ou, peut-être, notre prétention !

Prétention qui nous mène à notre propre destruction !

Même les virus se moquent de nous !

 

Emblavons le bon grain !                            Raymond Chermat

                                              

                                                   

                                                    

 

Partager cet article
Repost0
31 mars 2020 2 31 /03 /mars /2020 10:54


A propos de langage chez l'être humain comme chez l'animal on rencontre au cours des lectures, qu'elles soient scientifiques ou philosophiques, beaucoup plus d'hypothèses que de certitudes.
Cependant l'animal « pense-t-il »? Reste la question !
Les enseignements de René Descartes font dire au philosophe Nicolas de Malbranche que les animaux n'ont aucune crainte, aucune souffrance, aucun souhait de reproduction, aucune satisfaction quand ils mangent.

Descartes disait que la bête n'était qu'une mécanique dont les réactions étaient instinctives.

Les  humains -animaux verticalisés- sont-ils  assurément seuls à avoir des capacités de raison ?

Baruch  Spinoza  philosophe   hollandais  pensait  que les sentiments pourraient exister chez l'animal.

Ses réflexions étaient à l'époque - 1677 - uniquement philosophiques.


Aujourd'hui les scientifiques soulèvent les problèmes de l'intelligence, de la mémoire, de la  « pensée » concernant les activités du système nerveux central chez les animaux.

                                                    

L'animal « pense »  t-il ? Est une interrogation à laquelle l'être humain n'a pas encore donné de réponse. Il n' y a pas répondu, ni à l'aide de philosophie, ni à l'aide de la métaphysique, ni à l'aide de la science. Cependant aujourd'hui il faut rendre à la science le fait qu'elle ajoute à notre incertitude.

 

Réfléchir aux secrets de nos cerveaux et aux secrets des cerveaux chez les animaux c'est bien ! Les observer vivre ça aide !
Il est nécessaire que l'observation des comportements et des faits soit précise.
Quand l'anthropomorphiste veut faire de l'animal un proche de l'être humain, quand le zoomorphisme veut faire de l'être humain un proche de l'animal et quand le scientifique plonge dans l'infiniment petit, la Science avance.

Il se passe tant de chose dans l'infiniment petit ! La pensée naît- elle dans l’infinitésimal ?

L'activité cérébrale qu'elle soit humaine ou animal reste une énigme abyssale.
L'étude des comportements montre qu'il y a dans les corps chez l'humain comme chez l'animal des activités physiologiques mais aussi de grandes activités cérébrales.

Dans  les  deux  cas,  la chimie,  la physique,  la biologie  et  l'énergie électrique  sont à prendre en compte.

 

La science aidée de la philosophie, - ajoutons la poésie - toutes les trois, même anciennes, seront de grandes forces pour tenter de comprendre la complexité du vivant.

Dans ce cadre, l'étude des fonctionnements et dysfonctionnements des comportements de la mémoire et de la pensée sont en retard par rapport aux avancées dans le cadre matériel. Je parle de matériel militaire. Est-ce un paradoxe ? Paradoxe ou pas, voyons avec simplicité combien tout cela est compliqué. Nous en parlerons demain !

 

Emblavons le bon grain !                                  Raymond Chermat

 

                                                       

                 

                                                     

Partager cet article
Repost0
30 mars 2020 1 30 /03 /mars /2020 17:00

L'activation d'un neurone dépend de son environnement biochimique.
Le neurone reçoit des excitations et des inhibitions. L'inhibition est un phénomène qui bloque une activité biochimique.
Chez le rat par exemple l'expérimentation à permis de constater qu'un influx partant de la synapse arrive à un neurone moteur qui traduit un commandement au muscle de la patte, cette transmission dure environ 5 millisecondes. Au cours de ce phénomène il se produit de la biologie de la chimie, de la physique, et  de l'électricité.


Est-ce là - ou pas là - que naît la « pensée », chez les animaux ?
Charles Darwin présente le langage comme une sorte d'instinct, les animaux n'ont pas la capacité de parole. Dans « l'expression » des émotions chez l'homme et les animaux il écrit qu'il existe des émotions fondamentales spécifiques qui trouvent leurs  « expressions »  dans le comportement manifeste des hommes et des animaux.

 Il est d'accord pour admettre que la raison est la première de toutes les facultés de l'esprit humain et que peu de personnes contestent encore, aux animaux, une certaine aptitude au raisonnement puisqu'elles les voient constamment s'arrêter, réfléchir et prendre des décisions.
La souplesse de notre intelligence provient de l'interaction de nombreux instincts qui sont en compétition dans notre cerveau et du fait que dans ces moments d'activités, de nombreux échanges  « biochimicophysicoélectriques » -BCPE- d'une complexité infinie entrent en compétition. Les temps de ces échanges qui sont permanents peuvent s'imaginer en millimicrons, millisecondes, nanosecondes voire picosecondes.
Il y a encore beaucoup de questions posées et à poser à propos d'instincts, de pensées humaines et de « pensées » animales.
Si notre langage en tant que produit de l'instinct relève de la biologie, l'animal étant pourvu d'une biologie peut aussi  « penser » et donc dialoguer avec son semblable et être démonstratif à travers ses comportements notamment sexuels et, à l'égard de l'être humain.

La pensée sans langage serait-elle uniquement de l'ordre de l’inconscience ?
Chez l'être humain qui se met à penser, à réfléchir à sa pensée il y a affluence de mots ! Que se passe-t-il avant que les mots ne viennent chatouiller les cordes vocales ?

Où sont-ils ces mots ? Où naissent-ils et comment ?
Penser que tout cela et plus, se passe à un niveau si infinitésimal, la synapse, c'est fascinant !

Emblavons le bon grain !                      Raymond Chermat

Partager cet article
Repost0
30 mars 2020 1 30 /03 /mars /2020 10:34

Le cerveau est un organe complexe qui fonctionne et, dysfonctionne parfois, et auquel  on ne porte pas suffisamment attention. Il s'y fabrique de la biochimicophysicoélectrique

-BCPE-
Pour tenter de comprendre comment fonctionne le cerveau chez l'animal il nous faut faire fonctionner le nôtre, afin de progresser à l'intérieur des mystères qui entourent sa biologie, sa chimie, sa physique et son électricité.

 C’est une petite usine ! Car, c’est dans son intérieur que se fabrique tout ce qui suit et  combien de plus ! Ne l’oublions pas !

Quelques productions ont les noms suivants : Noradrénaline, Acétylcholine, Sérotonine, Dopamine, Acide gamma aminobutyrique et, autres utilités à la  transformations nécessaires au bon fonctionnement de notre VIE !


Chez l'être humain, ces activités cérébrales que nous avons concentrées dans le mot composé ci-dessus, sont certainement à l'origine des mécanismes nécessaires à la naissance des comportements chez l’animal.

A propos de l'animal se pose la question suivante: Le comportement est-il la résultante d’une pensée ?

A l'intérieur du système nerveux central - cerveau - s'agitent quelques molécules ci-dessus citées, plus ou moins connues du public, elles ont été décelées à l'aide d'appareils sophistiqués, chez l'être humain et chez l'animal notamment chez la souris, le rat, le chat, le  chien, le singe, et autres animaux dits « supérieurs ». Ces sujets se prêtent aux expérimentations, « volontairement parfois pour l’être « humain » et très souvent par contrainte et contentions concernant l’animal.

Une remarque cependant au sujet de volontarisme, au cours d’une expérimentation chez le chien, il a été observé que l’animal tendait sa patte à travers les barreaux de la cage pour qu’une prise de sang journalière puisse se faire, dans le cas de ce geste,  est-ce que la pensée est préalable ?

 

Préalable ou pas, cette agitation se produit dans un lieu infinitésimal appelé synapse. Cette jonction entre deux nerfs est une fente microscopique située entre terminaisons nerveuses dites, pré et post synaptiques. Sans cette formation - BCPE - à cet endroit, pas de biochimie pas de chimie, pas de physique, pas d'électricité et donc pas de pensée, pas de mémoire, pas de comportement.
Charles Darwin naturaliste et biologiste, en 1859, parla très peu du cerveau, cependant il le supposa comme organe duquel pouvait provenir la pensée.


Ramon y Cajal avec Camillo Golgi, tous deux reçurent le prix Nobel en 1906 pour leurs travaux sur la structure du tissu nerveux. Vers 1870 Ramon y Cajal pensa que la mémoire prenait sa source dans les synapses.

 

Emblavons le bon grain !                                  Raymond Chermat

 

                                            

 

Partager cet article
Repost0
28 mars 2020 6 28 /03 /mars /2020 17:35

Le cerveau est un organe complexe qui fonctionne et, dysfonctionne parfois, et auquel  on ne porte pas suffisamment attention. Il s'y fabrique de la biochimicophysicoélectrique

-BCPE-
Pour tenter de comprendre comment fonctionne le cerveau chez l'animal il nous faut faire fonctionner le nôtre, afin de progresser à l'intérieur des mystères qui entourent sa biologie, sa chimie, sa physique et son électricité.

 C’est une petite usine ! Car, c’est dans son intérieur que se fabrique tout ce qui suit et  combien de plus ! Ne l’oublions pas !

Quelques productions ont les noms suivants : Noradrénaline, Acétylcholine, Sérotonine, Dopamine, Acide gamma aminobutyrique et, autres utilités à la  transformations nécessaires au bon fonctionnement de notre VIE !


Chez l'être humain, ces activités cérébrales que nous avons concentrées dans le mot composé ci-dessus, sont certainement à l'origine des mécanismes nécessaires à la naissance des comportements chez l’animal.

A propos de l'animal se pose la question suivante: Le comportement est-il la résultante d’une pensée ?

A l'intérieur du système nerveux central - cerveau - s'agitent quelques molécules ci-dessus citées, plus ou moins connues du public, elles ont été décelées à l'aide d'appareils sophistiqués, chez l'être humain et chez l'animal notamment chez la souris, le rat, le chat, le  chien, le singe, et autres animaux dits « supérieurs ». Ces sujets se prêtent aux expérimentations, « volontairement parfois pour l’être « humain » et très souvent par contrainte et contentions concernant l’animal.

Une remarque cependant au sujet de volontarisme, au cours d’une expérimentation chez le chien, il a été observé que l’animal tendait sa patte à travers les barreaux de la cage pour qu’une prise de sang journalière puisse se faire, dans le cas de ce geste,  est-ce que la pensée est préalable ?

 

Préalable ou pas, cette agitation se produit dans un lieu infinitésimal appelé synapse. Cette jonction entre deux nerfs est une fente microscopique située entre terminaisons nerveuses dites, pré et post synaptiques. Sans cette formation - BCPE - à cet endroit, pas de biochimie pas de chimie, pas de physique, pas d'électricité et donc pas de pensée, pas de mémoire, pas de comportement.
Charles Darwin naturaliste et biologiste, en 1859, parla très peu du cerveau, cependant il le supposa comme organe duquel pouvait provenir la pensée.


Ramon y Cajal avec Camillo Golgi, tous deux reçurent le prix Nobel en 1906 pour leurs travaux sur la structure du tissu nerveux. Vers 1870 Ramon y Cajal pensa que la mémoire prenait sa source dans les synapses.

 

Emblavons le bon grain !                                  Raymond Chermat

 

                                            

Partager cet article
Repost0
26 mars 2020 4 26 /03 /mars /2020 10:27

En attendant sachons qu’avant que nous soyons devenus des êtres « humains » prétentieusement «  intelligents », la terre ainsi que le multivers -tous les univers réunis- ont su s’organiser, respectons cette admirable organisation et, copion-la. Evitons la provocation d’explosions inutiles, n’oublions pas que nous n’existons que parce que nous sommes des éléments de la Nature. Une politique intérieure et une politique internationale doivent donc emprunter un même chemin, celui de la préservation de cette admirable composition de la Nature. Et, n’oublions pas le multivers !

De telles propositions seront perçue par chaque être humain ayant envie de vivre dans une mondialisation perfectible, non malgré, mais avec le puissant pouvoir de l’argent.

À l’être humain de réfléchir, de mémoriser, d’imaginer et de s’adapter à un tel projet !

Instaurer ainsi un optimisme collectif sans recours au totalitarisme serait salutaire et, pour une fois, employons bien le mot gloire en «  l’adverbialisant » un optimisme collectif  serait alors glorieusement salvateur. Car, où qu’il soit sur le globe terrestre, l’être humain non aliéné utilisant son droit à la désobéissance lors d’une connerie humaine annoncée, n’a aucune envie d’une mort bêtement artificielle et/ou sacrificielle. L’instinct de conservation est puissant chez l’animal, qu’en est-il chez l’être humain ?

La pensée ? Et si on en parlait un peu de cette mystérieuse pensée par exemple, à l’aide de pédophilie de génétique de suicide. À chacun sa pensée, donc essayons d’être dans nos paroles et nos écrits  le plus simples possible.

À chaque animal sa pensée ?

Chez le chercheur, quand il s'agit de tenter de comprendre quel est le mécanisme à l'origine de la pensée chez l'être humain et à l'origine d'une éventuelle « pensée » chez l'animal, la passion s'éveille.

Sachant  que  tout  se  passe  à  l'intérieur de cet extraordinaire organe,

appelé « cerveau » chez l’animal dit « supérieur » comme chez l’être dit « humain ».

En comparaison il y a très peu de différence entre leurs structures et leurs activités « biochimicophysicoélectriques ». – BCPE -

                                                                                                      

Emblavons le bon grain !                            Raymond Chermat

                                                   

                                                      

Partager cet article
Repost0
25 mars 2020 3 25 /03 /mars /2020 11:20

La Nature est autodidacte, je le répète ! Prétentieux que nous sommes, nous n’écoutons pas ses « leçons de choses »! Nous évoluons en ignorant que nous sommes des éléments de cette magnifique Nature ! Ne la détruisons pas avant que la cosmologie ne l’ait voulue !

Dans mon désir d’avenir, à un âge avancé, il y a encore de la place pour une envie de projets. La vision politique pour le pays - politique intérieure - doit être exemplaire pour pouvoir prétendre être étendue dans le monde  - politique internationale –. Est-ce prétentieux ? Si oui tant mieux ! Alors soyons réalistes et proposons.

Toutes les actions à mettre en œuvre doivent avoir comme direction indispensable la régénération de la terre à qui nous avons manqué de respect ! Ô combien ! Toujours par gloriole ayant pour objet la mort industrialisée de nos semblables et, de la planète sur laquelle ces morts avaient envie de vivre.

Ces morts sont planétaires, souvent provoquées par la connerie humaine, Albert Einstein était plus poli que moi il disait - bêtises humaines -. Il est possible que l’antimatière suffise à nous détruire. L’antimatière est révélée en 1931 par les travaux,  en Angleterre, de Paul Dirac et aux Etats Unis les travaux de Carl David Anderson. Cependant le professeur Stephen Hawking dit : La particule de DIEU pourrait détruire l’univers. Alors ? Prudence ! Nous avons déjà, délibérément, effectué environ 2050 explosions atomiques expérimentales inutiles, souvent uniquement compétitives, puis des explosions inutiles de bombes et de centrales nucléaires ont eu lieu : Hiroshima, Nagasaki, Tchernobyl, et,  de nombreux accidents en France, aux Etats Unis, en Suède, au Japon, -centrale de Kashiwasaki et Fukushima sont des atrocités issues de nos cerveaux.

La sophistication et la cupidité étaient et, sont en marche ! La plus démentielle des expérimentations atomiques inutiles - connues – fut celle effectuée au sud de, l’île Novalja Zdemilia en arctique russe en 1961. Elle fut l'explosion la plus puissante effectuée dans le monde.

« Atomique Bombe Tsar, the most powerful of the 57 Mt ». Qu’est devenu l’air au dessus de cette île ? Et, ailleurs ?

 

Emblavons le bon grain !                                Raymond Chermat

 

                                           

                                                                     

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de Raymond Chermat
  • : Des pensées venues en écoutant les autres au fil des jours.
  • Contact

Recherche

Liens