Pourquoi accepter l'inconcevable ?

La guerre ! Encore et toujours la guerre ! La guerre est un mot qui existe. Faire la guerre, il semble que ce soit indispensable ! Nous ne sommes donc, tout simplement, que des animaux verticalisés ! La pensée s’échappe et n’a pas de limite, l’horreur en est issue et il est impossible d’en supporter d’avantage mais, nous la provoquons quand même ! C’est l’horreur d’autant plus que souvent c’est l’innocent qui subit. Il était innocent ! La guerre de trop longs jours je la vis. Elle ne sert qu’à tuer la VIE. J’étais en Indochine, j’étais en Algérie, dans le service de santé, c’était l’horreur ! Pourquoi ?

Il n’y a pas de paix sans justice.  Il n’y a pas de justice sans paix ! Comment faire ? Les tribunaux semblent impuissants ! Les « grands » responsables sont qui ? Sont où ?

Crimes de guerre ? Mais la guerre est un crime ! Où sont les coupables ?  Quand on a vu l’horreur, le pourquoi obsède. Les guerres commencent quand les uns oublient que les autre sont aussi des êtres dits : « humains ». Je mets « humain » entre guillemets, car, je le répète, nous ne sommes, parfois, que des animaux verticalisés obéissants ! Précisons : sous contrainte « politique » ? Ceci étant dit il faut réfléchir, il y a peut-être une différence entre les animaux et nous. Cherchons !

Quel chapitre !

Il y a tellement d’incompréhensions en ce domaine. Là aussi on constate que les débats d’idées entre fauteurs de guerre et pacifistes ne sont jamais programmés. Pourtant, le sujet et si vaste et si souvent d’actualité ! Probablement qu’un tel dialogue à travers le monde est impossible. Cupidité, égoïsme et jalousie créent des barrages infranchissables, il faudrait tellement parler, parler, et parler, des choses de la VIE. Et, des niches fiscales ! Constatons que l’Argent roi et le manque d’argent sont de redoutables virus. Ils se provoquent !

Peu avant les guerres, les chefs d’Etats, -fauteurs de guerres - oublient ces virus mais, uniquement dans leurs discours : En1918 mon père et des oncles sont revenus, vivants mais, très miséreux. D’autres « innocents » de tous les pays qui avaient été PCDF « pauvres cons du front » c’est ainsi qu’ils se nommaient entre eux, ont péris quelque part, sur et  en terre. Ils ont ainsi évité la lecture des révélations posthumes d’un ancien président du conseil - Editions de la table ronde 9424-, il disait : «  Après « l’appel au peuple » il y eut « l’Appel à l’or ».

L’homme du roi Argent quand ces braves gens étaient PCDF s’appelait Ribot Alexandre ministre des finances -août 1914, mars 1917- il créa les bons de la défense Nationale. Aujourd’hui, dans les circonstances actuelles, les peuples, et surtout les enfants de tous les pays, sont-ils obligés d’ignorer, où est l’argent ? D’où vient-il ? Où va-t-il ? A quoi sert-il ? Il serait peut-être utile de faire l’école autrement, afin d’éviter autant que faire ce peut, la venue et la persistance trop flagrantes de la « connerie humaine ». La VIE exige un tel respect et, tout cela est incompréhensible à l’esprit sain. Les pensées qui s’élaborent dans nos cerveaux, les phrases qui s’y construisent, sont  issues de regards sur la VIE et, de son écoute. Ces phrases sont écrites et, diffusées par les ondes, elles subissent l’influence du beau, du pas beau, du tolérable, de l’intolérable toléré, de l’intolérable combattu, du perceptible et de l’imaginaire. Il nous reste à citer le et/ou les « gagnants ! »

Emblavons le bon grain !                      Raymond Chermat