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11 juin 2014 3 11 /06 /juin /2014 09:52

Regardons, écoutons le monde !

Sommes-nous "civilisés" ? C'est quoi la politique ?

Comment, l’être dit : « humain », supporte-t-il encore l’insupportable ?

Posons-nous la question ! Peux-on, vraiment, conjuguer le participe passé civilisé avec le mot humanité ?

À propos du verbe civiliser, Victor Hugo disait : « Rendre plus raffiné, plus aimable ». L’est-on de plus en plus ou de moins en moins ?

 

Victor ! Reviens !

 

Réfléchissons ! Sommes-nous sur la bonne voie ?

Pour aller vers une vie intellectuelle, artistique, morale et matérielle, l’être humain a beaucoup trop souvent mal artificialisé.

Sur les bords de ce trop long chemin qui tente d’évoluer vers un éventuel Être que l’on ne peut encore qualifié de civilisé, de multiples questions se posent. Prenons un ou deux événements plus ou moins récents qui se promènent dans des écrits. La théologie nous apprend qu’il y a 2014 ans que des individus ont planté un clou dans la main droite, un clou dans la main gauche et un clou dans les pieds joints d’un nommé Jésus. Anatomiquement parlant, comment a-t-il tenu ainsi ? Invraisemblable torture ? Le Pape Léon x aurait dit : « On sait de temps immémorial combien cette fable de Jésus Christ nous a été profitable »

Avant que n’avions nous fait ? « Adam tua Abel »

Dieu où t’es ? Papaoutai outai outai ? * Dans la chanson de Stromae

Depuis nous avons tué artificiellement. Nous avons modifié artificiellement la nature.

Progressait-on vers un monde civilisé ?

Des viols ont été commis, en conséquences des arbres généalogiques sont peut-être inexacts, il existe donc de fausses filiations ! Des tueries ont été effectuées, comble : nous fabriquons de quoi nous détruire et la tyrannie entre en action. Elle finit par torturer, sacrifier, saigner pour offrandes, massacrer, bruler, gazer, éventrer et génocider, égorgé, pour appropriation.

Nous oublions que c’est la nature qui nous a engendré, nous sommes intrinsèquement son produit, nous résultons d’un processus naturel. En effet, le premier échange d’amour aurait eu son intensité entre une protéine et un acide nucléique ! « Biologiquement, ce sont nos aïeux les plus lointains ! »

Nous sommes issus de ces deux molécules et nous sommes devenus les principaux prédateurs de nous-mêmes et de la planète dont nous ne sommes pas propriétaires.

Le cerveau vous dis-je ! Que s’y passe-t-il ? Et, comment ?

 

 

Sommes-nous guidés par un complexe de supériorité ? Mais oui ! Nous tuons pour appropriation, pour imposer des théories religieuses, des idéologies politiques et autres inhumanités !

La mémoire est imprimée de force. La liberté de penser est bafouée

La nature a établi un ordre, détruire cet ordre pour vivre nous détruit. Trois principaux virus, l’égoïsme, la cupidité et la jalousie nous barrent la route vers une éventuelle civilisation digne d’être nommée ainsi.

 

Contre ces virus, l’éventuel traitement semble ankylosé au fin fond de nos synapses.

En attendant : L’idéal serait un objectif collectif : LA VIE. Il nous faut un destin !

Cet objectif collectif doit prendre naissance à l’école. Quand on y apprend l’histoire où, les tyrannies et les massacres sont mis en images sans explication des véritables causes, on ne peut que réveiller des haines éventuellement sous jacentes.

Si la barbarie est l’absence de civilisation alors, tous les jours à travers le monde constatons que nous sommes tous des barbares, nous sommes collectivement responsables d’un laisser-faire.

Parfois, une obéissance collective à un seul Être « providentiel ? » nous mène à de telles catastrophes. La violence entre « humains » dépasse souvent celle constatée par nous chez l’animal.

 

Sommes-nous vraiment civilisés ?

 

Jusqu’à présent l’histoire humaine est saturée et se sature encore de massacres imbéciles. L’autorité de l’autre sur soi est trop souvent issue d’irréflexion. Notre action de penser est bloquée, notre droit à la désobéissance nous échappe et nous exécutons une imbécillité.

L’autorité de soi sur soi pour la vie de soi et, de l’autre sans lequel nous ne pouvons vivre, passe par le partage et l’analyse des bonnes idées qui parfois naissent au sein d’une réunion philosophico-politique, dans un amphithéâtre ou toutes autres assemblées où, la démocratie ne serait pas mise en danger.

 

Les habituelles différences générationnelles seraient rendues moins conflictuelles et ainsi ouvriraient un chemin plus éclairé vers un monde plus qualifiable de civilisé. Il y aurait là une façon de réduire, voire d'éliminer les contraintes dues à une humanisation qui n’est que pseudo.

En effet, est-on obligés à la conflictualité ? Conflit contre qui ? Conflit contre quoi ? Conflit pourquoi ?

Il est indispensable d’anéantir la pauvreté intellectuelle. Est-ce possible ?

Quand on s’est aperçu que le singe transformait un caillou en outil pour casser la noix, notre pensée aurait dû s’imprégner d’une intelligence moins belliqueuse,

Constatons le monde : Le mot humain a-t-il un sens ?

Des coutumes grossières existent encore, même si l’on se prétend raffinés. –Victor Hugo-.

 

Il existe parmi nous des êtres qui se prétendent civilisés. Regardent-ils vers l’avenir ? Ils existent parmi nous des êtres barbares parfois dotés de pouvoir. Regardent-ils vers le passé ?

 

Où est la volonté réfléchie ?

 

Le civilisé et le barbare s’étonnent-ils mutuellement ?

Des barbares au pouvoir font naître désunion et mésintellignce chez des gens unis.

La zizanie peut prendre racine dans une société, et se transformer en un racisme qui stimule nos trois virus logés dans nos synapses : « jalousie, égoïsme, cupidité ». L’argent aura, très souvent, voire toujours, été leur bouillon de culture.

Par nos nombreux comportements imbéciles nous avons placés de multiples obstacles sur la route qui aurait pu nous mener plus rapidement et, sans dommages collatéraux, vers un épanouissement universel.

Actuellement sur cette route, nos comportements malfaisants dressent de plus en plus d’obstacles en les potentialisant.

Humanisme ? Où est l’être « humain » et qu’elles sont ses valeurs ?

Où sont ses valeurs quand il tue à l’aide des trois virus qui le rongent ?

 

La culture intellectuelle est préférable à la recherche d’une richesse par la cupidité. La cupidité estompe les pensées créatrices ainsi que les pensées sentimentales.

L’intellect devrait nous guider vers un observatoire à l’aide duquel nous prendrions conscience, enfin, des bienfaits que nous offre si généreusement la nature.

Une méthode est nécessaire, c’est par elle que l’on peut apprendre à apprendre, les portes des sciences, des arts, et des lettres sont plus faciles à ouvrir. Ceci est une absolue nécessité, dès l’école primaire et, en ces domaines indispensables à notre existence, être étudiant toute la vie est idéal.

 Aloïs Alzheimer eut été content ! Lui qui se posait la question de savoir qu’elle était le « virus » responsable de la dégénérescence des cellules cérébrales.

Stimuler de manière saine la mémoire, la pensée, l’imagination et laisser s’exercer le pourvoir d’adaptation peut avoir des effets bénéfiques.

Emblavons le bon grain !                                Raymond Chermat

 
 
 
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