À ce niveau de réflexion

À ce niveau de réflexion les chiffres sont incommensurables, on s’exprime modestement, notre unité de mesure est l’année lumière.

Aurons-nous un jour l’ingéniosité suffisante pour imaginer d’autres possibilités d’investigations avec  comme objectif le mot MULTIVERS ?

Aie aie aie !!! L’infini est infini !

Nature ! Toi seule sais ! En toi est la VIE, qui mérite l'absolue excellence !

Tu nous as dotés d’un système nerveux central qui nous donne la possibilité de chercher alors, cherchons ! Il est grand temps car, dans l’ignorance nous sommes devenus prédateurs de nous-même !

Mieux vaut savoir que croire !

Dans la mort nous sommes privés de sensations, mais, on reste soumis aux transformations en éléments de la Nature. Quoi de plus normal puisque nous en sommes issus !

Dans la VIE, des sensations agréables existent. Dans ce cas notre cerveau est bienfaiteur !

Il existe aussi des sensations visant à nuire, elles naissent aussi dans le cerveau, alors, les comportements qui en sont issus ne peuvent être qualifiés de normaux.

Réfléchissons : Que pense un être humain au moment précis où il coupe la tête d’un autre être humain ?

Il y a de la férocité en nous !

L’animal tue pour manger et donc pour vivre ! Nous aussi nous tuons notre semblable il est dit que c’est  pour: « mieux vivre ? » Egoïsme !

Réfléchissons : que sommes-nous ?

Sensations pour le bien, sensations pour le mal, dans ces deux cas, des pensées conçues à l’intérieur de notre système nerveux central sont créées et, véhiculées vers nos membres,  pour aboutir à des atrocités insoutenables.

Ces impulsions internes au cerveau, deviennent des pensées, puis, des mots, puis, en final des actes, à l’origine du bien et/ou du mal.

Dans : Par delà le bien et le mal « 10 18 »page 126, Nietzsche dit ceci : « Tout ce qui élève l’individu au-dessus du troupeau et qui fait

peur au prochain s’appellera désormais le mal »

En lisant cela, Hitler est un nom qui est en ma mémoire et qui me vient en pensée !

Emblavons le bon grain ! 

                                                            Raymond Chermat