Encore et, toujours ?! (23)

Les guerres n’ont cessé et persistent. Des yeux se sont voilés de noir, des oreilles se sont bouchées. Les scientifiques de la recherche fondamentale en matière de nucléaire nous avaient prévenus, ils n’ont pas été écoutés et, nous sommes aujourd’hui en grand danger ! Nous avons activé des maladies, nos fonctions organiques sont perturbées, les thyroïdes vont mal.

Les spermatozoïdes diminuent.

Les vésicules séminales et les voies spermatiques sont-elles affectées ?

Sommes-nous victimes de nos irréflexions ?

Nous pouvions utiliser les forces de la Nature, vent, marées, soleil, elles étaient connues depuis très longtemps, mais la cupidité a exercé sa force, force que nous pouvons utiliser quel que soit le domaine où elle s’exerce !

L’argent est comme une drogue : Plus on en a et aussi moins on en a, plus on en veut. Les chercheurs physiologistes et autres, ont encore beaucoup de pages blanches à noircir afin de remédier, si c’est encore possible, à nos conneries humaines.

Abordons le mot anthropocène. A-t-on le droit de fermer les yeux et de se boucher les oreilles sur le fait que l’action de « l’homme » a de fortes incidences, pour ne pas dire plus, sur l’évolution de notre planète, donc, de nos VIES ? Assistons-nous au début de la destruction de notre monde ?

Pourquoi osons-nous anéantir notre « civilisation » ?

Abordons le mot ouroboros, l’ensemble de l’éternel retour sera- t-il inhibiteur de nos déplorables comportements eu égard à notre « civilisation » ? Espérons ! « Le serpent qui se mord la queue n’avance pas !

Parlons avec plus d’humilité en politique, l’actualité l’exige !

En biologie, chimie, physique et électricité, il y a du travail pour « l’éternité ». J’ai nommé cet ensemble le BCPE, modeste raccourci du moteur de notre complexe système nerveux central, le cerveau ! à voir dans des blogs précédents

En politique, engageons-nous à remplacer : cupidité, égoïsme, et jalousie par : science, philosophie et poésie ! Et ce, dès l’école, pour espérer un monde meilleur. Je crois l’avoir déjà dit, peut-on le répéter ? Cela me fait tellement plaisir !

Entre l’infini du passé et l’infini du futur il y a le cerveau qui, à l’aide du langage qui en est issu, nous permet d’élaborer et de poser les questions auxquelles les réponses seront elles-mêmes infinies dans l’infini des temps.

Emblavons le bon grain et, à demain !                     Raymond Chermat