Résumons : l’avenir influe-t-il sur le présent ? Le présent introduit-il quelque chose dans le passé ? L’action remonte-t-elle le cours du temps, vient-elle imprimer sa marque en arrière ? Nous allons devoir travailler à reculons dans le temps puisque nous allons chercher de l’énergie au sein de ce qui existe depuis l’infini d’avant !
Le possible se loge dans le passé ! Soleil, vents, marées, sont des forces de la Nature et nous lui manquons de respect ! Nos nouvelles recherches et la Nature qui de tout temps ont été possibles, deviennent d’une actualité absolue. Pour une survie imaginée meilleure nous avons cassé une molécule et dispersé à travers le monde des malheurs dans notre présent, notre futur et, le futur de nos descendants qui vont se demander si nous étions civilisés.
Ces malheurs quels sont- ils ? Morts artificielles, maladies douteuses quant à leurs origines : Nucléaire ?
L’air que nous respirons, l’eau que nous buvons, la terre où pousse notre nourriture sont-ils et/ou –elles- sans traces de déchets NUCLEAIRE ? Dans le doute il eut fallu s’abstenir ! Nous ne l’avons pas fait, alors ?
En attendant fermons FESSENHIEME et surveillons de prêt les centrales vieillissantes ! Diplomatie ! Où es- tu ? Ils sont « chefs » d’Etat ! Ils sont responsables des peuples innocents qui « obéissent » ou pas , aux ordres qui consistent à reprendre la mort artificielle à travers le monde. Crime ? Ou plus ? Il faut que l’on invente un mot !
Gravissime ? Mot insuffisant !
Au XXIème siècle ! des enfants sont gazés ! D’autres sont à tout jamais au fond de la mer méditerranée, ils voulaient vivre la VIE, d’autres meurent de faim, écrasés sous les bombes dont ils ne comprennent pas l’utilité.
Puis-je résumer ? Sommes-nous civilisés ? Angélique moi ? Par de nombreux comportements imbéciles nous avons placé de multiples obstacles sur la route qui aurait pu nous mener plus rapidement et, sans dommages collatéraux, vers un épanouissement universel.
Démocratie ! Tu es la souveraineté qui émane du peuple cependant, où es-tu ?
Diplomatie ! Tu es la science politique, mais, la question se pose, comment te comportes-tu en relations
internationales ?
Est-il facile de décrire les catastrophes dont nous sommes collectivement responsables par nos actes électoraux ? Non ! Tout cela est insupportable et, nous supportons. Contre toute cette insupportabilité peut-on quelque chose collectivement ? Aïe aïe aïe !
Et si nous cherchions !
Au sein de notre cerveau, machine à penser nos catastrophes volontairement provoquées, de laquelle sortent de telles ignominies, il y a sûrement une solution ! Cette machine unique au monde fabrique le biochimicophysicoélèctrique et, de ce fait elle est compliquée à l’extrême ! Alors ? Demain je prendrai un exemple.
Emblavons le bon grain et, à demain ! Raymond Chermat