Toutes mes excuses pour cette interruption !
Ceci est indépendant de ma volonté !
Notre cerveau est inconnu !
Nous nous en servons sans savoir exactement quels sont les véritables systèmes de ses fonctionnements et/ou de ses dysfonctionnements. Il est évident qu’ici j’écris en mon nom ! « Je sais que je ne sais pas » !
Il est urgent de réunir toutes les plus hautes hiérarchies scientifiques du fondamental en neuroscience, avec les plus hautes hiérarchies du politique et du religieux afin, de prendre conscience de manière universelle, qu’il est urgent de penser à l’incertitude de notre futur, sachant que : « Nous sommes prédateurs de nous-mêmes » !
Ces hautes hiérarchies peuvent, peut-être trouver la clef, afin d’ouvrir la porte hermétiquement fermée par nous-mêmes, sur l’avenir de « l’humanité ».
Que faut-il faire pour sauver la planète ?
Les géo-constructivistes clament qu’il faut revisiter notre planète dans le détail. ... Je dis qu’elle sait et, nous ne savons pas !
Les éco-constructivistes annoncent la fin de la Nature.
Les écologistes de la séparation disent qu’il faut comprendre pourquoi il importe de défendre la Nature !
Simplifions !
La Nature a vécu sans nous, vit en se moquant de nous et, vivra sans nous dans le multivers dont il est incompréhensible qu’il soit compréhensible « Einstein ».
Nous ne pouvions pas vivre sans la Nature ! Alors cessons de la détruire !!!
L’article 1 de la déclaration des droits de l’homme dit : Tous les êtres humains naissent égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.
Un mur d’une incommensurable hauteur se dresse et empêche le monde de lire cet article 1.
Ce mur est composé de pierres dures et opaques, elles se nomment : Cupidité, égoïsme et jalousie.
Détruisons ce mur, respectons la Nature, et chantons à voix haute : Science, philosophie et poésie.
L’écho sera : Compréhension et action pour un monde meilleur avec amour et, avec le petit génie du bonheur : L’eudémonisme.
Emblavons le bon grain ! Et, à demain ! Peut-être !
Raymond Chermat
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