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28 octobre 2017 6 28 /10 /octobre /2017 16:39

Ce sont souvent des « hommes » qui discutent politique, ils décident qu’il faut tuer donc, ils tuent. Alors ? La VIE des innocents n’est plus !

De quel droit ?

Après de telles introspections comment ne pas douter des politiques ? Les citoyens réfléchissent et s’en détournent. L’aspect technique de la politique appelé « politicienne » s’écarte de la VIE du public et donne l’impression que la démocratie perd un peu de sa brillance. En a-t-elle eu de la brillance ?

Débats futiles et invectives inutiles sont ennuyeux, et la VIE publique disparaît des assemblées.

Dans les mots économie et politique il y a les mots travail, production, répartition, et consommation. Ces quatre mots sont indissociables.

Ils sont indispensables à notre VIE qui se construit sur quatre piliers principaux qui sont :

--- Manger : Agriculture et Art

--- S’habiller : Tissage et Art

--- Se loger : Architecture et Art

--- Se soigner : Science, Médecine et Art

 Les activités culturelles, musique, spectacles, arts en général se construisent sur ces quatre piliers, ainsi la société s’organise sur des bases solides encrées dans l’environnement naturel.

La politique, telle qu’elle se pratique sous nos yeux, trop souvent responsable de création de conneries humaines, perturbe cet ensemble qui pourrait être magnifique puisqu’il est issu de notre mère NATURE. Les quatre principales richesses qu’elle nous offre prennent racines dans le travail des êtres humain pour le bien de l’humanité. L’humanisme s’éloigne quand le travail consiste à fabriquer des armes. Que ce passe-t-il dans les cerveaux ?

Sommes-nous civilisés ?

Souvent, dans les raisonnements politiques, il est question de finances "en silence", rarement de l’être humain, et la mauvaise répartition entre producteurs et consommateurs s’installe.

En effet la cupidité qui règne dans les travées des assemblées provoque la richesse chez d’aucuns et la pénurie chez d’autres.

Ainsi, le marché fait la loi. In fine, il dérive.

Le public aimerait voir naitre des projets pacifiques. Que voit-il naitre à travers notre belle planète ? La guerre sous-jacente ! Elle montre ses possibilités de destruction partout dans le monde, partout où les peuples n’en veulent pas.

Ce paradoxe est-il d’origine politique ?

On peut se poser la question dans la mesure où le public est plus enclin à la recherche du bien en se « battant » contre les maladies, les épidémies, les misères et autres catastrophes « naturelles ».

D’où vient l’arrogance quand des petites guerres se déclenchent, portant dans leurs flancs une éventuelle déflagration universelle ? C’est du déjà vu !

Est-ce politique ?

Est-ce économique ?

Les projets pacifiques ne sont pas rentables économiquement !

Les projets de guerres font dénicher des milliards, les chômeurs deviennent soldats, les usines d’armements tournent à plein régime, les comptes bancaires d’une certaine catégorie entrent en fonction exponentielle pour la joie de certains privilégiés quand pour le plus grand nombre, la mort, le malheur et la misère s’installent.

L’économie va bien, son intégrisme atteint le sommet de la bêtise humaine.

L’être humain n’a plus de valeur !

L’arme a tout pris !

L’arme à tous prix !

Larmes plein les yeux !

Comment j’explique le caractère absolutiste de l’argent ?

Quelque part, de gros aimants l’attirent. Il s’accumule. Il se cache et fait le pied de nez, sans être vu par les inspecteurs des impôts et/ou des finances.

Observons l’élargissement rapide et quotidien du fossé entre richesse localisée et pauvreté universelle. Si ce fossé devient infranchissable un jour, l’humanité s’éteindra.

L’humanisme s’éloigne quand le travail est consacré à la fabrication et à la vente des armes.

J’ai connu l’hitlérisme, le stalinisme, le maoïsme et, les « propriétaires des déserts pétroliers ».

Il y a loin de l’hitlérisme à aujourd’hui où, une certaine sagesse s’est installée en Allemagne avec beaucoup de malheur dans le parcours. Il n’est pas toujours facile de s’évader d’une dictature !

Il y a loin du stalinisme à aujourd’hui où, les fortunés russes baladent leurs liquidités sur la côte d’azur ! Au fait, y a-t-il si loin ? Les fortunés ne sont peut-être pas les mêmes !

Il y a loin du maoïsme à aujourd’hui où, les chinois devenus capitalistes, sèment leur argent dans les investissements au niveau mondial. Est-ce une symbiose obligatoire imposée par l’argent absolutiste « communisme-capitalisme » ?

Il y a loin des années où l’on disait que les puits de pétrole se tarissaient et, aujourd’hui où les riches du Moyen Orient achètent notre patrimoine rendu rentable par exemple, investissements dans des hôtels rénovés où la chambre est à 10 000 euros la nuit ! Les « Club de foot » brillent parfois de cet argent.

Il est utile, parfois, d’investir ailleurs !

Veuillez excuser ce que l’on peut éventuellement appeler ma caricature. Elle m’a obligé à faire court à propos de beaucoup de sujets et notamment à propos de l’absolutisme de notre seigneur Argent.

Les politiques, séduits par les économistes, ont oublié la science, la philosophie et la poésie. Ils ont simplement utilisé les mathématiciens pour orienter les politiques qui mènent inéluctablement à la mort de l’humanité.

Comment tout ce fatras est-il encore possible au XXI ème siècle ?

Sommes-nous civilisés ?

Cette manière de laisser faire entraine plus de misère chez le plus grand nombre d’humains.

En politique, est-ce le but recherché ?

Cette façon d’être ne participe pas aux liens indispensables en politique pour un monde meilleur.

Emblavons le bon grain !                                         Raymond Chermat

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